Echanges riches et conviviaux autour des cultures et des arts premiers
Il s’agit d’une association, qui publie un bulletin, réunissant des anthropologues, historiens et curieux rassemblant l’iconographie oubliée de « l’outre-mer », et notamment de l’Afrique (peintures, dessins, photos, cartes postales). J’ai rencontré Isabelle Daubié, une des fondatrices, à Dakar (où elle dirige un charmant hôtel sur la plage de Ngor).
Consultez leur site, cela vaut la peine: http://.imagesetmemoires.com
Faire « voler » les poissons
Dans l’art des peuples premiers, il n’y a pas de signatures d’artistes. Cet art est lié aux échanges : une île isolée ne peut avoir de créateurs… C’est parce qu’ils apportent un démenti à ces affirmations courantes que j’ai choisi ces superbes poissons de bois sculptés par les natifs des îles Pitcairn. Continuer la lecture de « Bourgogne Tribal Show »
Conférence de Françoise Perriot le 28/3/19 au 150 cours Gambetta 69007 Lyon
Françoise Perriot vit actuellement dans la Drôme après avoir séjourné au Montana et avoir vécu 8 ans en Afrique sub-saharienne. Elle a écrit une dizaine d’ouvrages sur les Indiens d’Amérique du Nord.
Elle a centré son propos sur un sujet peu abordé, les Indiens noirs (ou noirs indiens).
Françoise Perriot met en évidence le rôle important des noirs libres et des esclaves noirs aux Etats Unis dès la découverte de l’Amérique et la conquête de l’Ouest en nous parlant de personnalités noires marquantes. Continuer la lecture de « Peau rouge et peau noire, la pièce manquante du mythe »
Nous avons appris avec tristesse le décès de Jean Metzger, fidèle adhérent de l’ACAP et bien connu pour être l’un des grands collectionneurs de cuillères du Monde (il avait exposé à Paris du 09/09/2014 au 03/01/2015 Hôtel de Sens, à Belleville sur Saône du 28/03/2015 au 06/06/2015 et du 04/05/2017 au 27/10/2017 à l’Abbaye de Belle Perche, 89700 et sa collection avait fait l’objet d’un bel ouvrage en 2013 « Histoire(s) de cuillères »).
Homme altruiste et discret, il avait une grande culture dont il ne faisait pas étalage. Il était encore parmi nous le 13 février dernier, lors de la rencontre sur l’avenir du patrimoine africain. Nous pensons à lui et à sa famille. Qu’Edith accepte les hommages de l’ensemble de notre association.
Y.Livian
Président de l’ACAP
Dans le cadre des « rencontres autour d’un objet de l’ACAP » le 17 mars 2019 à 18h30, Julien Marlier nous a invités à une véritable découverte en nous présentant quelques dessins issus de sa collection personnelle. Il s’intéresse depuis quelques années à une zone artistique très peu explorée, qui n’est ni art tribal ni art contemporain : les dessins produits dans l’ethnie Bamoum (Nord Cameroun) à la fin du 19e, début 20e siècle.
Continuer la lecture de « Les dessins Bamoum entre tradition et modernité africaines »
Présentée par J.Y. Loude, Roberte Hamayon fait partager au large public réuni au musée des Confluences son savoir sur les chamanismes, qu’elle a exploré à partir de sa connaissance du monde sibérien.
Liste établie en février 2019 à l’occasion de la rencontre avec Ph. Dagen et M. Amara
Ouvrages
Continuer la lecture de « Eléments d’une bibliographie sur la question des restitutions »
Rencontre du 13 février 2019 avec Ph. Dagen et M. Amara
C’est un sujet sensible que l’ACAP a voulu aborder, suite à la remise du rapport Sarr-Savoy. Il était de notre devoir d’être les premiers à Lyon à proposer à un large public un débat dépassionné et informatif… et effectivement nous avons battu notre record d’affluence ce soir-là. Continuer la lecture de « L’avenir du patrimoine africain : circulation, restitutions, coopérations »
Le 5 mars 2019, au musée des Confluences, après la projection du film de C. Marker et A. Resnais « Les statues meurent aussi », de 1953, une rencontre était organisée par Merja Laukia, directrice des collections et des expositions avec le couple de collectionneurs et donateurs au Musée des Confluences.
Continuer la lecture de « Rencontre avec les collectionneurs Denise et Michel Meynet »
Madagascar – Arts de la grande Ile au Musée du quai Branly
J’avais sans doute choisi le pire jour pour visiter cette grande exposition : le dernier jour de l’exposition, l’avant-dernier jour de l’année. Donc difficile d’approcher des objets : voitures d’enfants, touristes… et la moitié des malgaches de Paris.
On comprend qu’ils aient fait le déplacement, tant l’exposition se veut une vitrine du pays : son histoire, ses coutumes, sa nature… un objectif un peu vaste d’ailleurs.